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Rewrite the stras Cameron Williams (dylan O'brien)

Mando
Date d'inscription : 09/08/2023
Algorithmes d'amour : 212





Mando
Jeu 7 Mar - 13:50



Cameron Williams

 Jamais sans les miens



Nom : Williams
Prénom : Cameron
Âge : 20 ans
Date de Naissance : 14 février 2004
Lieu de Naissance : Seatlle
Situation familiale : Célibataire
Emploi/ études : Etudiant
Orientation Sexuelle : Hétéro
Inventé/ Scénario : []Inventé [x]Scénario

Avatar : Dylan Sprayberry

Caractère

• ATTENTIF
• CALME
• ECONOME 
• GALANT
• HUMBLE
• IMPATIENT
• MEFIANT
• REVEUR



Passé de Cameron Williams

 
MON ENFANCE
Neuf mois, que j'attends bien au chaud dans le confortable et sécurisant ventre de ma mère. Pour moi, le moment est venu de faire mon entrée dans le monde. L'attente n'a que trop durée. C'est ainsi qu'un beau matin du mois de février 2004, le 14 pour être précis, ma mère, qui est à la maison hurle :
 
“ Chéri, j'ai perdu les eaux ! “
 
À ne pas confondre eaux et os, ce n'est pas pareil. Enfin, passons, ni une, ni deux, mon père prend la valise et emmène la première femme de ma vie à la clinique. Heureusement que les trois mini humains que j'allais rencontrer plus tard, sont à l'école.
 
Après de nombreux efforts, dans un endroit peu enclin à la sérénité, je sors enfin la tête, et vois de quoi il en est. J'ai environ une semaine d'avance. Je suis attrapé par des mains fermement. Enfant calme, je ne fais aucun bruit. C'est alors qu'un horrible monsieur en blouse blanche, me donne une claque sur mes fesses. Pourtant, je n'ai rien fait de mal. Forcément, ce coup me fait mal… espèce de sauvage! Donc, je pousse un hurlement de dément, accompagné de larmes. Toutes les personnes présentes sont ravies… bande de sadiques… On me fait ma toilette et je retrouve la douceur de la peau de maman, ça m'apaise et je m'endors.
 
Plus tard, on me sépare de ma mère et on me met dans une salle avec d'autres copains de mon âge; Où des humains viennent nous regarder à travers une grande vitre, comme des bêtes de foire. Bref, je commence à avoir sérieusement faim. Comment le dire, je ne sais pas parler ? Je remarque un étrange phénomène, quand un de mes comparses pleure, d'autres suivent et tout de suite, on s'intéresse à eux. Pour atteindre mon but et par solidarité, j'adopte cette technique. Et ça marche. Merci les copains pour l'astuce.
 
Quelques jours ont passés. Aujourd'hui, on me ramène à la maison. La voiture me berce, je m'endors avant d'y être. Et une fois sur place, je me réveille. Quel changement. L'odeur est plus appréciable. Finis la senteur du désinfectant et le bruit à toutes heures de la journée ou de la nuit. Ici, c’est calme, merci pour mes pauvres oreilles. Petit bonus, j'ai deux adultes rien que pour moi. Mais ça n'a pas duré longtemps.
 
Vers la fin de l'après-midi, trois humains de taille réduite et très bruyants ont débarqué. Et direct ils sont venus me regarder, ouais ben vous gardez vos distances, chacun son espace vital :
 
“Cameron, voici tes frères et ta sœur. Les enfants voici votre petit frère Cameron. “
 
C’est normal qu'ils aient tous les trois presque la même tête, mais à des tailles différentes ?  Apparemment oui. Chose bizarre, ils appellent mes parents, papa et maman. Ils n'ont pas compris ce truc-là. C'est MES, parents et non je ne partage pas. J'ai beau pleurer pour exprimer mon désaccord sur le sujet, rien n’y fait. Alors je me fais à la situation.
 
Pendant les trois ans qui vont suivre, j'apprends à marcher, c'est quoi cette lubie, à quatre pattes, c’est bien plus stable, mais je dois faire en sorte de me déplacer sur mes deux jambes, ça leur fait tellement plaisir. N'oublions pas le pot, attendre de longues minutes, le pantalon et le sous-vêtement baissés, assis sur un truc bizarre et attendre des minutes sans rien faire. Une véritable perte de temps. Et mon père dire :
 
“ Vas-y, fait. Aller! “
 
Moi, je veux bien faire, ce n’est pas un problème… Mais je dois faire quoi? Parce que personne ne m'a expliqué… Puis vient une envie pressante. Pas de  couches ? Tant pis pour vous, je me soulage dans ce pot. Et là encore, ils sont heureux. Quel monde étrange… Le pire, quand j'ai dit mon premier mot. Leur réaction est invraisemblable. Si mes gazouillis et balbutiements, les font sourire, quand enfin, je sors mon premier mot : maman, cette dernière devient euphorique, pourtant il n'y a là rien d'extraordinaire, mes trois aînés, l'emploi couramment.
 
Dès lors, mon père et la fratrie n'arrêtent plus de répéter leur nom. Je sais très bien comment ils s'appellent. Les mois passent, mon langage s'améliore, la couche n'est plus d'actualité et la marche, c’est assimilé.
 
J'ai maintenant trois ans et les choses évoluent.
 
 UN NOUVEAU MONDE
Je mène une vie tranquille du haut de mes trois ans. Je partage ma vie entre la maison, les sorties au parc et les courses aux magasins. Mais voilà que tout change.
 
Il est temps pour moi de faire mon entrée dans le monde scolaire. Inévitablement, je me mets à pleurer, je sors même les grosses larmes de crocodile. Mais en vain.
 
La première année, je n'y vais que le matin, il faudra attendre la deuxième année, pour que j'y passe des journées entières. J'apprends à écrire mon prénom et mon nom. Je sais compter jusqu'à dix. Ce monde me convient parfaitement.
 
Trois années heureuses, mais je grandis et change d'école et là, c’est le choc. 
 
 JE DEVIENS UN GRAND 
Après deux mois de vacances, fais de jeu avec Duncan, ces le retours à l'école. J'ai six ans. Cette année, je suis dans l'école des grands. Tout est différent et me perturbe. Je ne suis pas fan de la façon de faire. Écouter la maîtresse toute la journée, non, je préfère rêvasser. Ce qui n'échappe pas à l’enseignante :
 
“ Cameron, alors c’est quoi la réponse ? “
“ Hein ? Quoi ? “
“ Vous n'avez pas entendu ? Comme d'habitude, vous êtes en train de rêvasser ! Vous n'arriverez jamais à rien dans la vie.”
 
Malgré ces prédictions, au moment des examens, je m'en sors comme un chef. Oui, je suis un rêveur, je le reconnais, c'est même un de mes traits de caractère. Mais je ne suis pas sourd et doté d'une très bonne mémoire. Tout au long de ma primaire, je suis un bon élève.
 
Côté famille, je passe beaucoup de temps avec Duncan, avec qui je me sens le plus proche, même si j'adore tous les membres de ma famille. Il invente des noms de jeux, tiré de son imagination et moi de le suivre dans ses aventures, où il est le héros. Même si bien souvent, je suis le méchant, ce n’est pas grave, car au final, je passe un bon moment.
 
UNE NOUVELLE ÉTAPE.
J'ai onze ans maintenant et je fais mon entrée en sixième. Je change de tranche d'âge. Je ne suis plus un enfant, mais un pré-ado… Période qui va durer trois ans, donc jusqu'à mes treize ans. Beaucoup de bouleversement: à commencer par mon physique. Ce dernier amorce un changement, comme pour chaque être humain, il tend vers celui que j'aurais adulte. Les hormones commencent à gentiment s'activer.
 
Côté scolaire, je change d'établissement. Ce qui ne me plaît guère. Passé des plus grand de l'école au plus jeune, et déplaisant comme sensations. Le code vestimentaire y est libre, les filles l'ont très bien compris. Un peu trop bien à mon avis.
 
Vu la quantité de maquillage que certaines ont sur le visage, leur place est au cirque en tant que clown. Pour ce coup, à part quelques excentriques, les garçons sont plus soft. Dans l'ensemble, ça va, malgré tout.
 
Par contre, côté notes, ce n’est pas super… Elles ne sont pas aussi bonnes que souhaite mes parents. J'ai la moyenne presque partout, mais dix ne sont pas suffisants pour eux. Je me plains à Duncan de cela, mais il se range à l'avis des parents. C’est un faux frère.
 
Il faut que je trouve une solution pour augmenter mes points de moyenne. Un bon moyen est de faire une activité extra-scolaire. Après mûre réflexion, mon intérêt se porte sur le club de théâtre. Mes talents de comédiens seront utilisés à bon escient.
 
Cette expérience va changer ma vie. Elle ne va seulement pas améliorer ma moyenne. Mais maintenant je suis sûr de moi. Mon avenir et de jouer la comédie sur les planches ou devant une caméra. Dès lors, chaque année, je fais partie du club de théâtre, et je me sens, à ma place et m'épanouis. Pendant ma préadolescence, il n'y a que ça qui compte.
 
J'ai alors quatorze ans, et ma vie a subi une nouvelle fois une perturbation. Les hormones entrent vraiment en scène et elles sont en ébullition. Mais je me sens plus attiré par les garçons que par les filles… Je ne suis pas stupide, je sais ce que cela signifie. Le savoir, c’est une chose, l'avouer en est une autre. Je sais que certains de mes profs ne sont pas pour ou du moins, c’est l'impression qu'ils donnent. C'est quand même eux qui ont mon avenir entre leur mains.
 

Comme toujours pour avoir des conseils, je me tourne vers Duncan. Je ne lui cache rien: mon ressenti, mes sensations et ce que je comprend. Sa réponse ne me surprend pas, je dois le dire aux parents. Mais je ne sais pas pourquoi, mais je repousse encore et encore la discussion ou je dirais tout. Je n’ai pas de raison de m'inquiéter et pourtant…   
 
J'ai dix-huit ans et à par quelques amourettes sans importance, je suis toujours puceau et célibataire… J'ai décroché une bourse et travaillé toutes les vacances pour aller à l'université. J'ai un bon dossier, il paraît… Et je n'ai toujours pas parlé à mes parents. J'ai voulu me concentrer sur mes études. Je quitte Seattle.
 
MA VIE D'ÉTUDIANT
Je quitte la côte ouest des États-Unis pour la côte Est. Me voilà à New York. Je me suis inscrit à Julliard en cursus des arts et Drama. Mais un emploi serait le bienvenu. Je trouve un poste de vendeur de boissons et confiseries dans un cinéma et pose comme modèle masculin nu, pour l'école de dessin, plus bas dans la rue, je n'ai aucun problème en rapport avec mon physique. 
 
C’est au cinéma que je rencontre Wess. Je dois dire qu'il a tout pour me plaire. Au fur et à mesure du temps, il vient au cinéma non pas pour voir des films, mais juste pour acheter des confiseries et demande que ce soit moi qui m'occupe de lui. Il vient me parler quand il n’y a personne.
Puis un soir, quand je quitte le cinéma après mes heures, il est là assis sur les marches. Seulement éclairé par un lampadaire. Le voyant, je demande :
 
“ Tu attends quelqu'un ? “
“ Oui toi”


Logiquement, je dois fuir. Mais mon instinct me dit que je n’ai rien à craindre de lui. C’est comme ça que je commence à sortir avec ce dernier. Même si tous les deux, on veut perdre notre virginité ensemble, on ne se sent pas prêt à sauter le pas… On échange notre premier baiser le soir de la St Valentin, pour mon anniversaire, pour mes dix-neuf ans. Mais on n’y est pas encore… Nous sommes en novembre. Dans quelques jours, on fête Thanksgiving. C’est la fête en dehors de Noël et du Nouvel An, ou depuis tout jeune, toute la famille est réunie. Mais il n'y a pas de vacances à cette période là de l'année. De plus, ce jour-là, Julliard fait son spectacle de la fête des moissons *, étant en première année, je dois y être. C’est la première fois en dix-huit ans, où je ne serais pas avec ma famille. Mais je rentre pour Noël.
 
Je suis de retour du vingt-trois au soir et repars le vingt-cinq dans la journée. Je dois être à New York le soir même. Etre étudiant à Julliard school, implique de grands sacrifices… En ce qui concerne le Nouvel An, j'ai promis à Wess de débuter l'année à ses côtés. On passe un mois de janvier magnifique tous les deux.  Toujours pas de contact physique. Puis comme dit plus haut, le quatorze février on échange notre premier baiser et dès le week-end suivant, on passe notre première nuit ensemble, perdant du même coup notre virginité. 
 
Grâce à Wess, j'ai fait la connaissance de James. Il travaille comme agent dans le monde de la mode. Il me propose de me prendre sous son aile. Après un essai satisfaisant, il réussit à me décrocher des shootings photos, et des apparitions dans des pubs. Vu mes cachets, je quitte mon job de modèle pour le club de dessin et celui de vendeur au cinéma.
 
Peu avant les vacances d'été, Duncan vient me rendre visite à New York et rencontre Wess. Je repars avec lui, pour les vacances d'été à Seattle.
 
Début septembre, retour à Julliard avec un peu le moral au plus bas… Pour cette deuxième année, j'ai réussi à avoir un petit logement en dehors du campus. Wess et moi avons emménagé ensemble. À chaque vacance, je retourne chez moi. Et c'est de plus en plus dur de quitter ma ville natale.
 
J’ai vingt ans, et je ne supporte plus d'être loin de chez moi. James me dit qu'il va gérer ma carrière de New-York, mais qu'il voit bien que je dois rentrer définitivement. À Julliard, le doyen m'aide pour les démarches pour continuer mes études à l'université de Seattle. Je propose à Wess de venir avec moi, il refuse, on rompt, mais on est quand même en bons termes.
 
Ma mère est contente de retrouver son fils, dont elle suit la carrière ; découpant toutes les photos où j'apparais, elle m'a fait un album. À maintenant, 20 ans, j'entame un nouveau chapitre de ma vie.


* Voir Wikipédia
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